PORTRAITS VIDÉO
Françoise Sullivan
Les clips vidéo sont en français ou en anglais.
Video clips © CCCA &
Linda Corbett_Eyeris Inc. 2008
Remarque : le téléchargement des vidéos peut prendre de
15 à 30 secondes.
Les Automatistes
Françoise décrit les « sept années magiques » qui
ont commencé un soir de novembre en 1941 lorsqu’elle et ses proches amis Pierre Gauvreau
et Bruno Cormier ont rendu visite à l’artiste et activiste Paul-Émile Borduas dans
son atelier à Montréal. Inspirés par une nouvelle attitude face à l’art
et à la politique et influencés par les idées des surréalistes français,
ces trois formèrent la base du groupe appelé « Les Automatistes ».
durée: 10:07 français
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Beaux-arts
En 1940, Françoise est acceptée à l’École des beaux-arts à Montréal.
Trouvant son inspiration dans les tableaux de Bonnard, elle abandonne vite le style rigide académique
de ses professeurs pour trouver sa propre voix. Elle se souvient de son amitié avec sa camarade
de classe Louise Renaud et d’une série de portraits aux couleurs vives peints sur du carton
corrugué pendant cette première période.
durée: 5:36 français
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Danse dans la neige
Danse dans la neige était conçue sous forme d’un cycle de 4 danses sur le thème
des saisons. L’Été (maintenant perdu) avait été tourné sur caméra
de 16mm par la mère de Françoise pendant les vacances en juillet 1947. Une invitation spontanée
de Jean-Paul Riopelle en 1948 l’avait incitée à exécuter une danse improvisée
le lendemain : Danse dans la neige. Dansée et mise en scène par Sullivan, filmée
par Riopelle et photographiée par Maurice Perron, seules les photos ont survécu.
Le cycle de quatre danses a finalement été complété 59 ans plus tard. Les
Saisons Sullivan (2007), est le fruit d’une collaboration entre Sullivan (chorégraphie/mise
en scène) Mario Côté (cinématographie), Marion Landry (photographie), Louise
Déry (texte), l’UQAM (Université du Québec à Montréal), et les
danseuses Andrée-Maude Côté, Anik Hamel, Louise Bédard et Ginette Boutin,
qui a abouti à un film et un livre en édition limitée.
durée: 13:26 français
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Dance
L’idée de Françoise était d’exécuter quatre danses improvisées à l’extérieur
sur le thème des quatre saisons. Dans ce clip, elle explique comment sa mère et elle ont
filmé L’Été (maintenant perdu) pendant les vacances en juillet 1947. Mais
l’automne prend fin sans qu’elle trouve l’occasion de tourner une seconde danse. En
1948, lors d’une rencontre fortuite avec des amis, Jean-Paul Riopelle invite Sullivan à venir
le lendemain dans sa maison de campagne près de Mont-Saint-Hilaire où elle danse tandis
que Riopelle la filme et Maurice Perron prend des photos du moment. La danse de printemps de Sullivan
n’a jamais été terminée; néanmoins Danse dans la neige a survécu
grâce à une série de dix-sept anciennes photographies prises par Perron.
durée: 4:28 anglais
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Processus
Dans une carrière extraordinaire qui s’est étendue sur plus de soixante ans, Françoise
Sullivan a créé un ensemble d’œuvres multimédia impressionnant.
Dans ce clip elle parle des éléments essentiels de son œuvre en danse, peinture,
photographie et sculpture. La conception et l’intention de l’artiste sont façonnées
par les exigences des matériaux et de la technique, ainsi que par beaucoup de travail.
durée: 2:34 français
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Homage
La série de grande envergure Hommage a pris forme en 2002 et 2003 durant une période où plusieurs
de ses amis chers sont décédés. Les œuvres sont influencées par le
minimalisme, sans pour cela être minimalistes. Elles sont une célébration de la couleur,
dont la profondeur est produite par des milliers de touches de pinceau qu’elle place en pensant à ses
amis défunts, qui « habitent » en elle. « Chaque coup de pinceau
suit le mouvement du cœur, » dit Sullivan qui demande à ses étudiants d’apporter
une attitude positive à la peinture et les prévient de « ne pas utiliser les
couleurs sans ressentir de l’amour ».
durée: 6:07 anglais
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Droit d'auteur ©1997, 2008, CCCA. Tous droits de reproduction réservés. |
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